Au sommaire de ce quatrième numéro d'une revue qui s'impose de plus en plus comme une référence, on trouve l'état de la réflexion sur les droits de l'homme au Cameroun à partir des conférences faites à l'Ecole nationale d'administration et de magistrature, d'un séminaire sur la "société civile" et de la loi camerounaise du 09 décembre 2000 sur la liberté d'association.